La voiture électrique a plus que jamais pris son réel envol, porté par la pandémie du nouveau coronavirus. En effet, alors qu’on aurait cru que ses ventes se seraient effondrées au lendemain du déconfinement post crise du COVID-19, c’est plutôt l’effet inverse qui s’est produit. Les ventes sont toujours portées vers le haut et des études stipulent même déjà que d’ici 2040, plus de la moitié des véhicules commercialisés dans le monde seront des zéro émission. Nous faisons le point avec vous !
La voiture électrique connaît un gain d’intérêt indéniable
Les études positives au sujet des voitures électriques, il n’y en a pas beaucoup. Surtout émanant d’un institut aussi prestigieux que le BloombergNEF. En effet, ce cabinet de réputation planétaire vient de signer une tribune relatant les conclusions d’une étude menée au sujet de la voiture électrique.
D’après l’étude en question, d’ici 2040 plus de la moitié des voitures vendues dans le monde seront électriques. Soit plus d’une voiture sur deux. Nos routes devraient donc sérieusement s’électrifier. Avec plus de 31 % du parc automobile mondial composé de véhicules zéro émissions.
Le cabinet va plus loin en prédisant les chiffres des ventes des années à venir. Soit 8,5 millions de véhicules électriques vendues dans le monde. Contre 1,7 million en 2020 du fait notamment du ralentissement de l’activité économique sur fond de crise du coronavirus.
Comment expliquer cet engouement pour les EVs ?
Dans les faits, les EVs ne sont absolument pas de mauvaises voitures. Leur seules tares ou limitations sont l’autonomie. Qui est de plus en plus importante. Particulièrement sur les nouveaux modèles, à l’image du Dyson N526 doté de 1 000 km d’autonomie.
En outre, divers gouvernements proposent ou entendent le faire dans les années à venir, des mesures incitatives plus fortes. Afin de densifier le parc des véhicules zéro émissions dans leurs villes.
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