Depuis que Tesla a lancé la tendance des voitures électriques, on sent comme un souffle de renouveau qui frappe ce marché longtemps délaissé et à la limite moribond dans les années 2010. Après Peugeot, Renault, Toyota, Volvo ou encore Opel et Chevrolet, mais aussi Rivian, Ford, Cadillac ou Hummer (General Motors) c’est au tour de la jeune pousse automobile US Nikola de se lancer dans l’aventure électrique. Le 10 février dernier Nikola dévoilait en effet le Badger, un pick-up concurrent du Cybertruck de Tesla et bardé d’autonomie.
Un pick-up polyvalent c’est tout ce qu’il y a à dire
Comme voiture zéro émission, il n’y a pas que l’électrique. On compte en effet des véhicules à piles à combustibles ou des véhicules à hydrogène. Chacune de ces deux déclinaisons d’auto propre ayant sa particularité, ses avantages comme ses inconvénients. Cependant, imaginez un seul instant pouvoir jumeler l’une de ces technologies à l’électricité dans une voiture.
Il pourrait en résulter un monstre d’autonomie qui ne dit pas son nom. Et c’est justement ce qu’a fait Nikola avec son Badger. Ce pick-up au design inédit et frais embarque de quoi rouler 900 km durant, avant la moindre recharge. Qu’il s’agisse de recharge électrique ou d’hydrogène.
En effet, le Badger embarque deux véloces moteurs électriques combiné à une pile à hydrogène. Pour être franc, on parle de 965 km d’autonomie.
Les détails sur route du Badger
Le Badger est un pick-up qui affiche des allures de mini-camion. Il sera donc sollicité pour transporter des charges lourdes. Nikola Corporation lui prédit une capacité de traction ou de remorquage de 3,6 tonnes. Soit un peu plus que le Cybertruck dans sa version uni-motorisée.
Avec une vitesse de pointe de 96 km/h atteinte en moins de 3 secondes, le Nikola Badger a de quoi faire sauter le marché du pick-up EV.
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