On vous parle souvent des conséquences positives du confinement et du Covid-19 sur l’environnement. Malheureusement, il existe également des conséquences négatives. En effet, on apprend que les partisans de la déforestation de l’Amazonie profitent de la pandémie pour intensifier la destruction de la forêt Amazonienne. Une bien triste réalité…
La déforestation
Il semble que malheureusement, la déforestation est plus que jamais d’actualité. Nous avions l’impression que l’homme laissait enfin respirer la Planète pendant ce confinement et cette terrible crise sanitaire. Mais en réalité, ce n’est pas le cas partout. Au Brésil notamment, la déforestation ne prend malheureusement pas de pause…
Les tribus indigènes sont sorties du silence pour dénoncer une situation qualifiée de désastreuse pour l’environnement. Marcio Astrini, chercheur à L’observatoire du climat, une organisation environnementale à but non-lucratif basée à Sao Paulo, est le porte-parole de ces tribus et a expliqué que les braconniers ne prenaient pas de pause et n’étaient pas confinés à l’heure actuelle. Les raids illégaux et la déforestation massive se poursuivent…
L’organisation complexe
On apprend ainsi qu’au mois de mars, la déforestation en Amazon a atteint un niveau record en dix ans. Plus de 200 000 mètres carrés ont été défrichés, et c’est l’Institut national de recherche spatiale du Brésil qui a confirmé ces chiffres. Aucun doute donc, les images satellites le prouvent : la déforestation se poursuit.
Certains indigènes ont décidé de lancer un appel au secours aux Nations Unies. Ils souhaitent recevoir une aide internationale afin de mettre fin à cette déforestation illégale qui se poursuit à l’abri des regards… Les tribus voient leur habitat naturel se réduire à vitesse grand V et commencent à cruellement s’inquiéter pour leur avenir. Il serait temps d’agir et de sanctionner sévèrement ces destructeurs de forêt avant qu’il ne soit trop tard. Quelle tristesse.
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