Malgré la déforestation qui se joue actuellement dans le monde entier, les forêts sont encore nombreuses. Et heureusement ! Mais savez-vous quelles sont les cinq plus grandes forêts du monde ? On vous dit tout, alors qu’un drame terrible se joue actuellement avec l’Amzonie qui brûle depuis plusieurs semaines…
1. L’Amazonie
C’est bien évidemment l’Amazonie qui arrive en tête, avec une superficie de 5 millions de km². La forêt est à cheval sur plusieurs pays comme le Brésil, le Pérou, l’Equateur, le Venezuela, la Colombie, ou encore le Surinam. Elle est gravement menacée par la déforestation. Malheureusement, actuellement, un terrible incendie incontrôlable détruit en partie la forêt d’Amazonie. Les conséquences pour l’avenir de notre Planète seront désastreuses…
2. La taïga
Les forêts boréales de Sibérie sont les secondes plus grandes forêts du monde. Ces forêts sont visuellement particulières car composées d’arbustes principalement. Elles ne sont pas denses mais abritent une faune et une flore particulièrement riches.
3. La forêt du bassin du Congo
Cette forêt est située autour du fleuve Congo. Elle traverse l’Afrique, et s’étend sur 2 millions de km². Comme l’Amazonie, elle traverse plusieurs pays comme par exemple le Cameroun, la République centrafricaine, les deux Congo, le Gabon ou encore la Guinée équatoriale. Elle est fortement menacée par la déforestation.
4. La forêt de Daintree
Direction l’Australie pour découvrir l’immense et incroyable forêt de Daintree. C’est une forêt tropicale particulièrement belle qui abrite une magnifique biodiversité. On y trouve notamment des grenouilles absolument uniques au monde.
5. La Forêt de nuage
En Equateur, la Forêt de nuage est recouverte de brume, ce qui fait toute sa spécificité. Elle est très étendue et abrite environ 1500 espèces d’oiseaux différents. C’est un joyau de la nature menacé par la déforestation et les activités humaines.
Les forêts sont belles, grandes… et malheureusement menacées. Il est tellement important de sauvegarder la faune et la flore, et de prendre conscience des dégâts de l’activité humaine.