Nous pensions tous que la voiture électrique était une excellente alternative aux moteurs thermiques. Présentée comme étant éco-responsable si ce n’est écologique, avec bonus à l’achat, des études viennent remettre en question ces idées reçues. Elles montrent que, dans bien des cas, le bilan écologique des moteurs électriques… est nettement plus négatif que celui des motorisations essence et même Diesel !
La « voiture propre » : un mensonge marketing ?
Depuis de nombreuses années, les véhicules électriques nous sont volontiers présentés sous les étiquettes « zéro émission » ou « propre ». Mais ce ne serait en grande partie qu’un raccourci publicitaire. Et c’est efficace : presque la moitié des acquéreurs d’automobiles électriques disent avoir fait cet achat pour des raisons environnementales. Même chose pour la technologie hybride rechargeable, qui attire souvent pour ses avantages fiscaux, sans que le mode « électrique » soit véritablement utilisé… Du coup, L’Obs pouvait mettre sur le même plan électrification et Diesel :
Mais voilà, dès 2014, le Jury de déontologie publicitaire a émis des avertissements contre Bluely, Autolib’ et Renault, à cause de leurs offres d’autopartage électrique ou de la présentation de la Zoe. Lors de sa construction, chaque voiture électrique est à l’origine de dégâts environnementaux, mais cela continue après, pendant sa circulation. De fait, la pollution via les particules fines proviendrait pour les neuf dixièmes des freins et des pneus : plus lourdes, les automobiles électriques ne seraient pas les mieux placées en la matière…
L’impact environnemental de l’électrique
Il ne faut pas se leurrer : la production de voitures électriques émet du CO2. Leur fabrication est d’ailleurs beaucoup plus gourmande que la construction de véhicules à motorisation thermique. Tout cela à cause de la batterie. Pourtant, cela ne les empêche pas de donner droit, en France, à de beaux crédits d’impôt ! Sachez cependant que la plupart des batteries sont conçues en Chine grâce à de l’énergie majoritairement obtenue… avec du charbon ! C’est ainsi que certains détracteurs des moteurs électriques parlent volontiers d’« hypocrisie » :
En outre, la production de l’électricité qui sert à recharger les batteries peut elle aussi occasionner de la pollution. Cela dépend bien entendu des pays. Il a été estimé qu’il fallait parcourir 40 000 km en Norvège pour qu’une voiture électrique soit globalement moins polluante qu’un Diesel. Cela passe à 100 000 km environ pour la France – à condition d’éviter la question des déchets nucléaires… Puis à 160 000 pour l’Allemagne. Et les moteurs électriques resteront en réalité toujours plus polluants que l’essence en Australie, en Chine, au Japon, aux Pays-Bas et en Pologne !
Le problème de la pollution par les moyens de transport est donc immense. Il faut l’envisager dans sa globalité… et ne pas se limiter à la face visible de l’iceberg. Ce que doit faire le consommateur dans ce bazar, c’est un autre problème… !
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Tout d’abord vous dite que « les particules fines proviendrait pour les neuf dixièmes des freins et des pneus : plus lourdes, les automobiles électriques ne seraient pas les mieux placées en la matière… » sauf qu’une Renault Clio IV pèse juste 1 200 kg et une Zoe pèse 1 400 kg wahou quelle différence!!!
Et au fait une zoe freine aussi avec le moteur en l’utilisant comme génératrice donc use largement mais alors largement moins ses plaquettes de freins.
Ensuite vous dites, « la production de voitures électriques émet du CO2. Leur fabrication est d’ailleurs beaucoup plus gourmande que la construction de véhicules à motorisation thermique. Tout cela à cause de la batterie. » donc vous mélanger la production de la batterie avec la production des moteurs électrique or la batterie avec la consommation électrique c’est comme l’essence du voiture essence!.
Après la blague vous dite que les batteries sont fabriquer en chine or c’est faux ils fabriquent seulement les cellules et les batteries sont assemblées en France.
Pour ce qui est de leur électricité elle provient effectivement de charbon mais ils mettent en place d’autre moyen de production, mais tout ne ce fait pas du jour au lendemain.
Enfin « la production de l’électricité qui sert à recharger les batteries peut elle aussi occasionner de la pollution. Cela dépend bien entendu des pays. Il a été estimé qu’il fallait parcourir 40 000 km en Norvège pour qu’une voiture électrique soit globalement moins polluante qu’un Diesel. Cela passe à 100 000 km environ pour la France – à condition d’éviter la question des déchets nucléaires… Puis à 160 000 pour l’Allemagne. » la c’est juste parfait 40 000km des personnes le fond en un ans donc ceux qui vivent en Norvège pour une moyen de 10 000 km par ans les types en 4 ans vont largement moins polluer que les véhicules thermiques au vue de leur production d’électricité. je passe pour le reste car le résumé est le même au final sachant qu’un moteur électrique dépasse le moteur thermique en terme de longévité.
Pour finir je rajouterai juste un truck c’est que pour recharger une voiture ok faut produire de l’électricité ça va de soit cependant les véhicules thermiques il faut puiser le pétrole dans les nappes de la terre et ensuite l’acheminer jusqu’à nos stations essence alors on pollue lors de l’extraction et en plus pendant le transport parfait !!
Et au fait on est au début des VE donc il y a d’énorme possibilité de mieux faire dans le futur sauf qu’il faut du temps alors que le pétrole mieux faire pour moins polluer je vois pas.
La seul alternative peut être c’est les piles à combustibles mais bon pas sur.
Voila tout
Bonjour,
Les données mentionnées sont reprises de la source donnée en lien, en fin d’article. C’est bien la globalité de la production des différentes voitures qui est prise en compte et pas seulement les moteurs. Les batteries sont majoritairement fabriquées, d’après cette source, en Chine même si elles peuvent être assemblées ailleurs. Effectivement, les voitures électriques ont encore, d’une manière générale, beaucoup de progrès à faire, de même que l’origine des productions électriques nationales ! Cela permet, avec une légère provocation, de rappeler que la solution n’est pas encore en place, contrairement à ce que l’on croit souvent, donc nous sommes bien d’accord !
Robelin, vous êtes de mauvaise fois… et un menteur !
Pour minimiser la pollution aux particules fines des voitures électriques, vous commencez par écrire :
« sauf qu’une Renault Clio IV pèse juste 1 200 kg et une Zoe pèse 1 400 kg wahou quelle différence!!! »
Cette assertion est doublement malhonnête et fausse :
1° Vous revoyez largement à la hausse le poids de la Clio et légèrement à la baisse celui de la Zoe : en réalité, la première pèse 1 009 kg et la seconde 1 468… Or, pour passer de l’un à l’autre, la différence est de plus de 45 % ! « wahou quelle différence!!! » donc !
2° Même une différence de 200 kg serait importante (supérieure à 16 %). D’ailleurs je vous invite à rouler avec une Twingo à vide. Puis à la charger de façon à lui ajouter 200 kg. Vous aurez des différences de sensations (surtout pour les démarrages, côtes et reprises), sans parler de la consommation en carburant… Alors pensez avec un chargement de 459 kg : « wahou quelle différence!!! »
La suite de votre commentaire est dans la même veine et vous décrédibilise… Les voitures électriques, c’est juste du marketing et de quoi écouler l’électricité dont les Etats sont les producteurs ou des actionnaires…