Les voitures électriques c’est bien, mais elles polluent également. Bien que leur pollution soit surtout liée à leur processus de fabrication et leur devenir une fois leur cycle de vie amorti. Cependant, certains pionniers du milieu de l’automobile ont décidé de s’y attaquer. Il s’agit notamment de Renault, l’un des primo-constructeurs à s’être aventuré sur les sentiers des voitures électriques. En effet Renault vient d’annoncer la construction future d’une usine de recyclage des batteries et voitures électriques.
Renault se met encore plus au vert
La vérité sur les voitures électriques est assez difficile à saisir. Surtout quand on tient compte du fait que oui, ces voitures sont peu polluantes du point de vue de leur utilisation au quotidien. Cependant, l’ardoise peut vite s’avérer salée pour la planète lorsque l’on y regarde de plus près.
En effet, entre le moment où une voiture électrique sort d’usine et le moment où ses batteries sont hors d’état d’usage, un cycle de pollution lié à sa fabrication et son devenir post-utilisation se forme.
Et pour résorber ce cycle en ce qui concerne ses propres véhicules électriques ou hybrides-rechargeables, Renault a annoncé la construction d’une usine dans à Flins. Celle-ci aura pour leitmotiv d’assurer le recyclage des batteries et voitures électriques.
Une usine transformée pour le bien de la planète
En effet, l’usine des Yvelines qui produisait jadis des citadines et désormais les Zoe de Renault sera prochainement transformée en une usine de reconditionnement des voitures électriques.
En effet, elle sera renommée Re-Factory. Elle cessera de produire des voitures neuves et se concentrera sur le reconditionnement de Zoe usagées. Ainsi, le circuit des Zoe reconditionnées et donc remises à neuf, vient d’être créé par Renault.
Une excellente manière de mêler économie circulaire et respect des objectifs économiques et écologiques. Avec à la clé une économie de 2 milliards sur trois ans pour Renault.