La France parle depuis de nombreuses années de transition écologique, sans réellement forcément concrétiser quoique ce soit au niveau national. Seules des initiatives locales, parfois privées, changent la donne. Depuis son accession à l’Hôtel Matignon, Jean Castex le premier Ministre a clairement affiché ses positions sur la transition écologique de notre pays et se dote désormais de moyens pour l’amorcer. Ainsi, le programme France Relance se pare de 30 milliards d’euros pour faire de l’Hexagone un havre d’écologie.
Un plan de relance écologique sur fonds européens
Au total, ce sont 100 milliards de d’euros qui seront déployés pour entamer la révolution verte du pays.
Parmi ces fonds, 40 milliards proviennent de fonds européens. Et plus de 1/3 sont destinés à lutter contre le réchauffement climatique et le gaspillage alimentaire. Comment son dispatchés ces fonds ? Nous avons enfin la réponse suite à un coin presse du premier Ministre Jean Castex.
Les transports propres financés à hauteur de 11 milliards d’euros
Les transports ferroviaires héritent de la plus grosse enveloppe du portefeuilles des transports. L’idée est de développer via et en collaboration avec la SNCF, le fret ferroviaire. Ainsi que les deux lignes de trains de nuit et les petites relations qui avaient fermées par le passé.
La transition écologique des entreprises amorcée avec 9 milliards d’euros
Accompagner les entreprises officiant dans la recherche et le développement de solutions durables et renouvelables, c’est l’idée derrière la dotation de 9 milliards d’euros. 2 milliards y sont alloués notamment sur la recherche sur l’hydrogène naturel.
La rénovation énergétique des bâtiments financée à hauteur de 7 milliards d’euros
Dès le 1er janvier 2021, 4 milliards serviront notamment à la rénovation énergétique des bâtiments publics. Tandis que 3 milliards assureront la rénovation des ménages français.
L’agro-écologie et la rénovation des réseaux d’eau dotés de 1,5 milliard d’euros
Ici, il est question de développer l’agriculture bio en France. Tout en effectuant à hauteur de 300 millions d’euros, les réseaux hydriques français.