Voilà une nouvelle qui devrait ravir les organismes de défense de la vie animale, à l’heure où plus que jamais les espèces actuellement abritées par la Terre sont de plus en plus en voie d’extinction. En effet, la population de baleines à bosses qui a frôlé l’extinction en 1950 a retrouvé 93 % de son effectif d’origine. Une première dans un environnement sans cesse hostile à ces animaux. Malgré le nombre de pays renonçant à consommer la chair de baleine, comme en Islande.

Menacée d’extinction

Dans les années 1950, la baleine à bosse a frôlé l’extinction. En effet, au milieu de ce siècle on ne comptait plus que 450 baleines à bosses dans les océans du monde entier. Une population relativement ridicule comparé à celle de base de cet animal marin.

Une baleine Crédits photo PxHere

Les baleines à bosses de retour parmi nous

D’après le journal de la Royal Society, les baleines à bosses ont été sauvées. Avec une population représentant 27 000 baleines dans les années 1830, elle fut si chassée.

Convoitée surtout pour sa chair très tendre et succulente. Ou sa peau riche en éléments essentiels dans certaines industries. Au point d’atteindre une population de moins de 500 baleines.

Une baleine Crédits photo Pikrepo

Désormais, on compterait un peu plus de 25 000 baleines à bosses dans nos océans. Une bonne nouvelle non seulement pour la faune, mais également pour notre planète.

Pourquoi la baleine est si importante pour l’environnement ?

Vous l’ignorez sans doute mais les baleines à bosse aident à réguler les concentrations de gaz toxiques dans notre environnement. En effet, une seule baleine à bosse peut stocker jusqu’à 33 tonnes de CO2.

Depuis l’initiation de ce programme de sauvetage des baleines, c’est donc pas moins de 813 780 tonnes de CO2 qui ont été emprisonnés dans les bas-fonds des cours d’eau.

Renouvellement de loxygène de lair grâce au courant marin océanique Crédits photo WIkimedia Commons

Et là-bas, ce gaz carbonique est recyclé par les phytoplanctons qui grâce à lui, génèrent de l’oxygène qui remonte à la surface de l’eau et atteint nos côtes, puis nos poumons.

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Lynda, journaliste expérimentée avec plus de dix ans de carrière, est diplômée de Paris-Sorbonne et formée en Search Marketing. Elle allie rédaction et optimisation SEO pour des contenus percutants et informatifs, captant l’attention de ses lecteurs avec clarté et engagement. Contact : [email protected].

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