Avec l’avènement du nouveau coronavirus, la planète à soufflé un peu. Entre chute drastique des niveaux de pollution dans plusieurs pays, le retour des animaux sauvages dans les villes, l’environnement s’est déchargé de quelques tonnes de CO2 tout en pansant quelques-unes de ses plaies. En théorie, c’est ce qui devait être fait. Juste que, dans les faits c’est tout l’inverse ou presque. Malgré ce gaz polluants en moins la planète ne se porte malheureusement pas mieux.
Des tonnes de gaz en moins
Avec le coronavirus, les pays asiatiques et même européens ont vu leurs taux de pollution chuter de plus de 100 % ou presque. Ce fut notamment le cas pour la Chine, l’Inde, l’Italie et même les Etats-Unis, où le confinement total ou partiel a eu des effet bénéfiques.
Parmi ces effets bénéfiques on compte notamment l’amélioration de la qualité de l’air respiré par les habitants des grandes villes.
Le principal gaz dont les taux ont été divisé par dizaines, n’est autre que le CO2. En effet, il est le principal gaz à effet de serre. Et représente plus de 27 % des émissions de gaz à effet de serre émis chaque année. Raison pour laquelle contrôler le carbone, c’est en fait contrôler notre climat. Et même notre environnement.
La planète toujours en danger
Bien que le COVID-19 ait relégué l’urgence climatique de notre maison au second plan, il n’en demeure pas moins que le réchauffement climatique s’est poursuivi, même durant le confinement.
En effet, pour alimenter ce trop plein de familles à la maison, les usines ont dû produire toujours plus d’électricité. Et dans des pays comme l’Australie où le charbon et le pétrole sont la principale source d’énergie, la situation s’est davantage dégradée depuis le début du confinement.
Donc d’une part il y a une diminution des taux de pollution dans les pays tels que la Chine et consort, autant sous d’autres cieux la situation s’est catastrophée depuis l’annonce de la pandémie du nouveau coronavirus.