La France et ses voisins européens entament peu à peu le déconfinement, après plus d’un mois et demi passé à la maison pour éviter la propagation du COVID-19. Alors que tout semble désormais sous contrôle, l’état donne ses recommandations pour éviter une nouvelle vague de contaminations au nouveau coronavirus. Notamment le fait de privilégier les déplacements à vélo. Le gouvernement français va même jusqu’à subventionner l’usage du vélo, avec une mesure incitative. Pourquoi ?
Le coronavirus et la pollution, deux co-épouses à séparer absolument
Depuis le début du confinement, nous vous faisons part des évolutions de la crise sanitaire la plus grave de notre société moderne. Avec notamment la diminution des taux de pollution en Chine, Inde, mais également en Italie ou dans toute l’Amérique du sud.
Cette chute spectaculaire des niveaux de gaz nocifs pour l’environnement, s’accompagne également du retour en ville de certains animaux sauvages. Tout ceci concourt au fait que la qualité de l’air influe énormément sur le pronostic vital des patients porteurs du coronavirus.
En effet une étude a clairement démontré que plus les niveaux de pollution de l’air sont élevés plus nombreux sont les décès chez les patients porteurs de la maladie. La raison demeure inconnue, mais dans l’optique d’éviter au maximum aux populations de faire face à la maladie, l’état recommande de privilégier le vélo.
Pour éviter les contacts sociaux aussi
L’autre raison est liée au fait que l’état souhaite maintenir une mesure de distanciation sociale. D’où l’idée de recommander un moyen de locomotion qui permette d’éviter d’user des transports en commun.
L’état subventionne les vélos durant le déconfinement
Pour bénéficier de la subvention il faut déjà posséder un vélo. L’état se charge ensuite de le mettre à jour ou de le réparer si besoin est. Afin que vous puissiez rouler en toute sécurité. Pour ce faire, il faut vous rendre chez un des 3 000 professionnels ou associations référencés pour cet effort gouvernemental. La seule condition ? Les frais de réparation ne doivent point dépasser les 50 euros.