Le réchauffement climatique n’a pas d’incidence qu’au niveau de la qualité de l’air que nous respirons ou de la nourriture que nous consommons. Il est également incriminé dans le processus de montée des eaux qui menace désormais près de 2,4 milliards de terriens. L’élévation du niveau des eaux pourrait en effet rayer de la surface de la Terre de nombreux villages, villes et même pays. Alors jadis décriée, la solution des villes flottantes est désormais discutée à l’ONU.

L’ONU au chevet des villes menacées de disparition

Il se dit dans la communauté scientifique que le niveau de la mer serait dans les à venir un mètre au-dessus des côtes actuelles. Un tableau qui signifie sauf erreur que de nombreuses villes et pays sont appelés à disparaitre d’ici quelques décennies. Ce qui inquiète l’ONU, qui vient d’approuver un projet de construction d’une ville flottante baptisée Oceanix.

Vue aérienne d’Oceanix – Crédits photo : Oceanix/BIG-Bjarke Ingels Group

Issus du cabinet d’architectes Bjarke Ingels Group (BIG) à qui l’on doit déjà les logements flottants de Copenhague, Oceanix serait bâti sur un assemblage de plateformes hexagonales de 20 000 mètres carrés chacune. Chaque plateforme aurait une capacité d’accueil de 300 résidents et ces villes du futur s’adresseraient avant tout aux habitants des zones tropicales menacées par la montée des eaux.

Des villes flottantes et durables pour le bien de tous

Histoire de ne pas répéter la même erreur, les villes flottantes seraient notamment construites sur des fondements durables.

Les habitations seraient notamment d’après les plans bâties sur des fondations en bambou. De même, la mobilité serait là aussi uniquement basée sur des engins non polluants. Du type vélo, bateau ou radeau électrique, et même taxi-drone. Les véhicules seront interdits dans les villes flottantes. L’électricité serait quand à elle produite via des éoliennes sous-marines ou des panneaux solaires.

Panorama d’Oceanix – Crédits photo : Oceanix/BIG-Bjarke Ingels Group

Sur le plan alimentaire, l’ONU songe également à une solution radicale qui préviendrait des dégâts causés par l’Homme et son agriculture intensive. Seules les produits marins à faible empreinte carbone seront cultivés.

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