Visiter le monde, découvrir de nouveaux horizons, voyager, voir du pays. Ce sont là des rêves de nombre d’entre nous. Cependant, nous sommes si nombreux à vouloir faire le tour du monde que certaines parties du globe sont assaillies par le tourisme de masse. 19 destinations exotiques viennent d’annoncer des mesure visant à stopper nette ce tourisme sauvage.
Les 19 destinations qui disent non au tourisme de masse
- Reykjavik en Islande
- Palma de Mayorque aux Baléares
- Venise en Italie
- Le Mont Blanc et Chamonix en France
- Dubrovnik en Croatie
- Amsterdam aux Pays-Bas
- Oia et l’île de Santorin en Grèce
- Rome en Italie
- Les parcs nationaux des pays d’Amérique
- L’île Big Major Cay aux Bahamas
- Les récifs coraux de Cancun
- Le Machu Picchu au Pérou
- Barcelone en Espagne
- Phnom Bakheng en Cambodge
- L’île de Komodo en Indonésie
- L’île de Boracay aux Philippines
- Maya Bay en Thaïlande
- Uluru / Ayers Rock en Australie
- L’Ile de Pâques
Quelles mesures sont mises en place pour limiter ou stopper le tourisme de masse ?
Parmi les mesures phares adoptées par les pouvoirs publics des localités mentionnées plus, on compte notamment la limitation du séjour pour les étrangers. Cela est notamment le cas des îles de Pâques et de Boracay. En lieu et place d’un séjour maximum de 90 jours, ces destinations n’acceptent les étrangers que pour 30 jours.
En outre, quelques destinations ont tout simplement décidé de limiter la fréquentation de leurs sites touristiques en en interdisant l’accès. C’est notamment le cas de la Baie des émeraudes en Indonésie ou de l’interdiction de l’ascension de certains monts et monuments, à l’instar parc national de Uluru-Kata Tjuta.
Des fermetures en cascade
En Thaïlande, Maya Bay qui a connu un fulgurant succès au début des années 2000 a dû fermer en raison de la destruction de sa barrière de corail. Sa fermeture a été prolongée jusqu’en 2021.