Le réchauffement climatique est principalement causé par les gaz à effet de serre produits par les activités humaines. Notamment l’usage de climatiseurs et réfrigérateurs, l’usage d’ampoules et néons. Mais surtout conduite automobile, qui génère une quantité astronomique de dioxyde de carbone qui est ensuite piégé dans notre atmosphère. Certains pays conscients de  l’existence de ce cercle vicieux et du fait que celui-ci dégrade la qualité de vie des habitants de certaines villes ont décidé de tout bonnement repenser notre manière de nous déplacer.

A Bruxelles par exemple, d’ici 2035 il ne sera tout bonnement plus possible de rouler à bord d’une voiture essence ou diesel.

Pour quelles alternatives ?

Les alternatives sont toutes trouvées. On en compte notamment deux, qui sont la voiture électrique et la voiture à hydrogène. Cependant, bien qu’elle ait un temps été considérée comme la voiture du futur car à zéro émission, l’électrique est confrontée à un problème. Pour de pas dire deux.

Une station de recharge pour voitures électriques Crédits photo Flickr

Pour rouler elle a besoin d’énergie électrique stockée dans ses batteries. Cette énergie est souvent produite par des moyens peu respectueux de l’environnement. De plus, l’épineux problème du recyclage des batteries des voitures électrique pousse en général les consommateurs à être réticents à les acheter.

D’un autre côté, on a les voitures à hydrogène. Qui semblent à ce jour la meilleure alternative à la voiture thermique. La voiture à hydrogène ne rejette rien de nocif dans notre environnement. Si ce n’est de l’eau. Seul bémol là aussi, puisque rebelotte pour rouler la voiture à hydrogène a besoin d’être rechargée en… hydrogène.

Une voiture en cours de recharge à une borne à hydrogène Crédits photo Public Domain Files

Cette molécule pourtant disponible à l’infini voire de façon inépuisable sur Terre, est difficile à extraire. De plus son extraction ou son fractionnement à partir d’autres molécules consomme une certaine quantité d’énergie. Cette solution est donc viable mais soumise à de nombreux paramètres.

Fort heureusement récemment des chercheurs ont annoncé avoir réussi à réduire d’au-moins 70 % la consommation énergétique du processus d’extraction de l’hydrogène. En usant d’une réaction chimique connue depuis le lycée : l’électrolyse de l’eau.

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Jessica, journaliste aguerrie avec une solide expérience en gestion de projet et rédaction web, est diplômée de Sciences Po en Communication et Médias. Elle capte l'attention par des contenus précis et percutants, couvrant les évolutions médiatiques avec rigueur et clarté. Contact : [email protected].

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