Chacun y va désormais de sa vision avec les voitures connectées. Dernière en date tout droit venue d’Allemagne, Twike existe en fait depuis 1980. Seulement, à cette époque le concept de véhicule électrique à pédalier se heurtait à de nombreuses problématiques. Notamment ceux des technologies embarquées et de l’intérêt des consommateurs. La situation est assez différente aujourd’hui, puisque les voitures électriques ont la cote et se vendent désormais comme des petits pains.
Twike, une voiture électrique à pédalier
Se présentant sous les traits d’un véhicule bi-places tout ce qu’il y a de plus normal, la Twike se différence des autres autos par le fait que malgré sa propulsion électrique et la présence de quelques batteries sur son plancher, elle soit en mesure d’être rechargée par le biais d’autre chose qu’une prise électrique.
Ainsi les deux occupants de cette voiture futuriste auront en face d’eux un pédalier qui produira l’énergie utilisée pour propulser le véhicule. Ce mécanisme permet à la Twike d’offrir une autonomie de 500 km.
Elle allie donc respect de l’environnement et maintien de la forme, puisqu’elle force ses occupants à faire une activité physique pour avoir de quoi débouler sur l’asphalte. Le tout à une vitesse de pointe de 190 km/h.
Une présentation officielle en grande pompes
La Twike a été dévoilée en début de semaine par son constructeur au salon automobile de Genève. Si la voiture en elle-même n’a pas manqué d’attirer le regard, c’est surtout le fait qu’elle ne sera produite qu’en 500 exemplaires qui a le plus surpris la foule.
En effet, Twike a expliqué vouloir réserver son véhicule à une clientèle de niche réellement attirée par des véhicules électriques, plutôt que d’en faire un compétiteur des modèles de série pondus chaque année par les barons de l’automobile.